Elementary my dear Watson
Holmes et Watson en série Un personnage dans le bon timing Après les films de Guy Ritchie sortis il y a deux et cinq ans ( Shelock Holmes en 2009 et Sherlock Holmes : Jeu d'ombres en 2011), ces chers américains nous présentent un Sherlock Holmes des temps modernes, avec quelques tendances rappelant nos héros de séries préférés : la fâcheuse obsession de résoudre des mystères morbides du Dr Bones, l'entêtement du Dr House et ses tendances addictives, une relation de proximité avec la police (il est consultant pour le capitaine Gregson) et doté d'un compagnon qui le suit dans ses enquêtes au quotidien. Pour mettre un peu de piment à cette recette de base, ce camarade n'est autre qu'une femme ultra-sexy qui détruit image du bon vieux Watson que l'on a depuis le début du XXe siècle grâce aux fictions de l'écossais Sir Arthur Conan Doyle et de ses adaptations diverses. Une ouverture sur l'Océan à double sens La première saison prome